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~***Julz***~

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8 février 2006

~*~Nouvelles !~*~

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4 septembre 2005

Pu person ici ?

snif... moi triste et abandonnée ou quoi !

2 septembre 2005

Trop d'la balle !

Heyyyyy j'ai une photo perso qui a été publiée sur PixelMonde ! Yeah c'est la célébrité copyrightée :o))))))

http://www.pixelmonde.fr/europe/france/ile_de_france/paris/photos334.html

2 septembre 2005

Les nouvelles récentes :o)

1 septembre 2005

Hayéééééééééééééééééééééééééééé !

La bonne nouvelle c'est que je peux de nouveau poster ! Yeahhhhhhhh
Cette note n'étant pas franchement intéressante, elle sera sans doute remplacée, mais si quelqu'un désire partager ma joie, qu'il ou elle ne se gêne pas lol !

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10 juillet 2005

35 Mai Bis

Je stresse lol je stresse lool je streeeeesse loooooool
image_153...du Jami'stress lol

Annonce Spéciale, très spéciale : WELCOME !!!!!

6 juillet 2005

Et maintenant...?

...que fais-je ? qui suis-je ? où vais-je ?...
Ma p'tite voix ne me parle plus... elle doit me faire la tête après des années à l'avoir fait taire sans cesse. Décidemment elle m'a laissée bien seule avec moi-même. Je ne sais plus. Je n'ai jamais su, j'ai toujours voulu croire que je savais. Droit dans le mur.
Where am I ?
Wer bin ich ?
Donde esta mi felicidad ?
Dove sto andando ?
...

Pardon pour mon absence encore...

30 juin 2005

Effroyable Journée

...Pardon pour mes absences mailistiques, bloguesques, absences tout-court...

Petite saturation personnelle, rien de grave, de retour bientôt...

17 juin 2005

J'ai dansé toute la nuit...

Tout a commencé ce soir, enfin hier soir.

Rien ne laissait présager ça... à part peut-être...

Retrouvailles avec mes pointes
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...on pourrait penser que j'en fais dix tonnes.

...je peux néanmoins vous garantir que l'émotion
était au rendez-vous, ce n'était qu'un tout petit
début...

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...et je me suis mise à danser...

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...danser...

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...

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Un Grand Cambré par-là...

Sensation de Corps Libre.

L'heure tournait mais qu'importe... la musique m'ennivrait, le mouvement m'exhaltait, l'expression me boulversait... c'est juste la fatigue qui a eu raison de ma Passion cette nuit aux alentours de 4h30...

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En attendant demain, je m'en vais te retrouver dans mes rêves...

5 juin 2005

Qu'est ce qui commence par C et qui...

Ne vous inquiètez pas Amies Bloggueuses, cela ne s'adresse pas à vous !

J'veux gueuler !
Que ça soit bien clair, j'veux gueuler.
Ca me saoule, merde, putain, ça fait chier, j'en ai marre !!!

Ouais la p'tite gentille.
Ouais c'est ça, elle dit "oui", elle dit "d'accord", elle dit "pas de problème".
Genre.
Eh ben aujourd'hui elle a découvert quelque chose en elle : la colère.

Je ne tiens pas en place, je n'arrive pas à faire la moindre chose, à entendre mon coeur et ma raison, parce que ce sont celles de ceux à qui cette colère s'adresse que j'écoute comme une conne.

J'acquiesce. Bien-sûr.

Et qu'est-ce que je ressens au fait ?... le vide ? attends attends avant de parler de vide.
Je ressens une tension de je-ne-sais-combien de newtons dans la mâchoire, mes mains rigides et tremblantes peinent à saisir ce foutu CD de Garbage que je hais. Je sens ma respiration se faire lourde mais régulière, je sens mon visage tendu et mes yeux lancer des éclairs. J'ai un poids sous le sternum.

Ca me donne envie de vomir, nan de gerber, lâchez-moi putain, laissez-moi tranquille, foutez-moi la paix, je m'en tape de vos histoires, tant que je ne saurai que cacher la vérité ou pire, mentir (comme vous l'avez si bien fait d'ailleurs), je préfère ne pas vous adresser le moindre mot.
Mais putain dès que j'aurai la poigne pour vous dire vos quatre vérités, sachez que ça ne sera pas la bouche en coeur que j'arriverai. Ce n'est pas un pied dans la tombe agitant un drapeau SOS que vous me verrez. Votre aide je n'en veux pas, ouais de l'aide... n'importe quoi.

Tu comprends rien, tu peux pas, mais je m'en fous plus que tu ne peux l'imaginer. T'as bouffé ma vie pendant que moi je t'ai regardé(e), "non non je n'ai pas faim". Pas faim ? pas faim ??
C'est quoi ces conneries ??!!!

P'tain Julia t'as faim de vie merde !!! d'accord y'a ce qu'il faut dans ton frigo, alors où est le problème ? mais tu te trompes d'ennemi !!! Tu te gourres comme c'est pas possible.

T'as offert ta vie sur un plateau à tu-sais-qui avec des couverts de service en argent en souhaitant bon appétit, enjoy. Et toi tu regardes, c'est beau ? et un an après, toujours autant ? 2 ans ?... 3 ? 
'tain tu t'en rends compte là, ça y est ??? j'félicite ta rapidité, quoique vaut mieux là que dans 10 ans.

Voilà, catégorie de merde pour message de merde mais fallait que je frappe mon clavier, fallait que j'parle n'importe comment, fallait que ce plomb je le pète ! D'ailleurs je vais pas m'arrêter en si bon chemin, ça fait trop de bien de se laisser s'énerver !!!! des années que j'attendais ça, au mieux j'ai versé des larmes et j'ai hurlé de douleur. C'est seulement maintenant que je me rends compte l'athlète de la colère qui se cache là-dedans, alors aujourd'hui ... j'vais m'défouler, ça m'f'ra trop d'bien.

Je calcule plus, allez ciao j'me barre !


Conclusions tirées de ce cri de colère : après un déglingage de clavier, un claquage de porte, des poubelles jetées comme une hystérique et une sortie en furie dans la rue... je suis revenue calmée, apaisée, de nouveau sereine, intérieurement harmonieuse car fidèle à ce que je ressentais.
Le vide n'existe pas, c'est le trop plein d'un sentiment nié, refoulé, que l'on méprend pour du vide. Alors assumer, exprimer ce sentiment, sortir ce trop plein pour laisser entrer quelque chose d'autre... de l'air... du calme... se réemplir de Soi. Comme si ce sentiment trop pesant écrasait ce "Soi" contre les parois de l'enveloppe charnelle, il crie à l'étouffement. Il peut alors reprendre possession des lieux, possession du corps et de l'esprit...

Crier, déconner, casser, écrire, hurler, jeter, bouger, réagir même au-delà de ce qu'on ressent...

Puis revenir à la sérénité... Ne pas louper d'étape. Ne pas dormir pour endormir la douleur, au réveil elle n'en sera que regonflée à bloc... et ce n'est pas dans l'armoire à pharmacie que se trouve la solution.


31 mai 2005

Se séparer d'un parent malade...

mere_fille"...Comment se séparer d'un parent psychiquement malade ? Les enfants, habités par un sentiment de toute-puissance qui les met au centre du monde, pensent toujours qu'ils sont - au moins un peu - responsables de ce qui arrive à leurs proches, en particulier à leurs parents. N'est-ce pas un peu leur faute si leur parent est fragile ? Ne peuvent-ils, par leur seule présence, devenir l'ange salvateur qui va guérir la maladie parentale ? Dans le même temps, ils éprouvent sûrement des souhaits de mort plus ou moins conscients envers ce père ou cette mère pas comme les autres...
L'ambivalence atteint son paroxysme - "Je t'aime, je te hais, je ne peux me passer de toi ni toi de moi" - et en fait naître la culpabilité. Mais la culpabilité fige le lien ; elle est même le pire des liens, lourde comme une chaîne de forçat. Elle attache, emprisonne. On ne peut pas se séparer si l'on se sent coupable.

Un parent, c'est fait pour rassurer, encourager, rendre plus fort. Avec un parent malade, les rôles semblent inversés : l'enfant n'est plus l'objet de ses préoccupations, c'est le parent qui devient objet de préoccupation pour l'enfant. En temps normal, celui-ci se soucie peu de ses parents, sauf en ce qui concerne l'affection, l'attention et les soins qu'il lui apportent. Ses parents sont des héros, forts, invicibles, tout-puissants. Le parent malade, lui, est empêché d'accéder au rang des héros, et il faut se soucier de lui parce qu'il est fragile. Sauf s'ils sont absents trop longtemps sans prévenir, un enfant ne se tracasse jamais pour ses parents. Mais si le père est aveugle, comment pourrait-il ne pas s'inquièter de savoir comment il va réussir à traverser la rue sans se faire écraser ? Et si le parent est dépressif, comment ne pas hésiter à le laisser seul ? L'enfant pense que sa présence peut être un garde-fou aux accès de mélancolie parentale.

Parce qu'elle oblige à prendre soin, à protèger, la maladie psychique attache l'enfant à son parent. On ne peut pas se séparer quand on a des doutes sur les qualités de résistance de celui dont on doit s'éloigner ; on a besoin de percevoir en lui quelque capacité à affronter cette séparation.

Pour réussir à prendre un peu de distance, il faut commencer par faire le diagnostic de la maladie. Cela permet en effet à l'enfant de ne plus chercher d'origine ni d'explication à la faiblesse de ce parent, ce qui allège son sentiment de responsabilité et de culpabilité, à défaut de le faire disparaître tout à fait.

Mais il est difficile de reconnaître que son parent est mentalement malade, et difficile de l'accepter. Se taire, taire la maladie apparaît comme une question de fidélité affective au parent malade, que l'on trahirait en mettant des mots sur son mal. Se taire est aussi une façon de se protèger de la honte que représente ce parent pas comme les autres, qui casse toute possibilité d'identification..."

26 mai 2005

Dire Merci...

...à quelqu'un qui se reconnaîtra tout spécialement... merci parce que... merci :'o)

Juny

24 mai 2005

Extraits choisis...

question1"...il existe des gens heureux qui mènent une vie harmonieuse. Le plus souvent, ils ont le sentiment que la vie est généreuse. Ils savent apprécier leur entourage et les menus plaisirs quotidiens ; les repas, le sommeil, la sérénité de la nature, la beauté de la ville. Ils aiment créer et bâtir, qu'il s'agisse d'objets, de projets, de relations. Ces gens ne font pas partie d'une secte ni d'une religion particulière. On les rencontre aux quatre coins du monde. Certains sont riches, d'autres non, certains sont mariés, d'autres vivent seuls, certains ont des talents particuliers, d'autres sont tout à fait ordinaires. Ils ont tous connu des échecs, des déceptions, des moments difficiles. Personne n'y échappe. Mais, dans l'ensemble, ils semblent mieux négocier les obstacles : on dirait qu'ils ont une aptitude particulière à rebondir face à l'adversité, à donner un sens à leur existence, comme s'ils entretenaient un rapport plus intime avec eux-mêmes, avec les autres, et avec ce qu'ils ont choisi de faire de leur vie. [...]

  • A l'intérieur du cerveau se trouve un cerveau émotionnel, un véritable "cerveau dans le cerveau". Celui-ci a une architecture différente, une organisation cellulaire différente, et même des propriétés biochimiques différentes du reste du "néocortex" - c'est-à-dire la partie la plus "évoluée" du cerveau, qui est le siège du langage et de la pensée. De fait, le cerveau émotionnel fonctionne souvent indépendamment du néocortex. Le langage et la cognition s'ont sur lui qu'une influence limitée : on ne peut pas commander à une émotion d'augmenter ou de disparaître de la même façon qu'on peut commander à son esprit de parler ou de se taire.
  • Le cerveau émotionnel, pour sa part, contrôle tout ce qui régit le bien-être psychologique et une grande partie de la physiologie du corps : le fonctionnement du coeur, de la tenstion artérielle, les hormones, le système digestif et même le système immunitaire.
  • Les désordres émotionnels sont la conséquence de dysfonctionnemens de ce cerveau émotionnel. Pour beaucoup, ces dysfonctionnements ont pour origine des expériences douleureuses vécues dans le passé, sans rapport avec le présent, mais qui sont imprimées de façon indélébile dans le cerveau émotionnel. Ce sont des expériences qui continuent souvent de contrôler notre ressenti et notre comportement, parfois plusieurs dizaines d'années plus tard.
  • La principale tâche du psychothérapeute est de "reprogrammer" le cerveau émotionnel en sorte qu'il soit adapté au présent au lieu de continuer à réagir à des situations du passé. A cette fin, il est souvent plus efficace d'utiliser des méthodes qui passent par le corps et influent directement sur le cerveau émotionnel plutôt que de compter sur le langage et la raisn auxquels il est assez peu perméable.
  • Le cerveau émotionnel possède des mécanismes naturels d'autoguérison du corps, comme la cicatrisation d'une plaie ou l'élimination d'une infection. Les méthodes qui passent par le corps tirent avantage de ces mécanismes.

[...]
Sans émotions, la vie n'a pas de sens. Qu'est-ce qui donne du sel à notre existence sinon l'amour, la beauté, la justice, la vérité, la dignité, l'honneur, et les gratifications qu'ils nous apportent ? Ces sentiments, et les émotions qui les accompagnent, sont comme des boussoles qui nous guident à chaque pas. Nous cherchons toujours à avancer vers plus d'amour, plus de beauté, plus de justice, et à nous éloigner de leurs opposés. Privés des émotions, nous perdons nos repères les plus fondamentaux et devenons incapables de choisir en fonction de ce qui nous importe véritablement.
Certaines maladies mentales se traduisent par une telle perte de contact. Les patients qui en sont atteints sont pour ainsi dire exilés dans un "no man's land" émotionnel. [...]

D'un autre côté, les émotions livrées à elles-mêmes ne font pas non plus une vie de rêve. Elles doivent impérativement être modulées par l'analyse rationnelle dont est chargé le cerveau cognitif, car toute prise de décision "à chaud" peut mettre en danger l'équilibre complexe de nos relations avec autrui. Sans concentration, sans réflexion, sans planification, nous sommes ballottés par les aléas du plaisir et de la frustration. Si nous devenons incapables de contrôler notre existence, celle-ci perd tout aussi rapidement son sens.

L'intelligence émotionnelle

Le terme qui définit le mieux cet équilibre entre l'émotion et la raison est celui d'"intelligence émotionnelle", et qui semble expliquer, mieux que tout autre forme d'intelligence, le succès dans la vie. Et elle est assez largement indépendante du quotient intellectuel.

  1. L'aptitude à identifier son état émotionnel et celui des autres.
  2. L'aptitude à comprendre le déroulement naturel des émotions (tout comme un fou et un cavalier se déplacent selon des règles différentes sur un échiquier, la peur et la colère, par exemple, évoluent différemment dans le temps).
  3. L'aptitude à raisonner sur ses propres émotions et celles des autres.
  4. L'aptitude à gérer ses émotions et celles des autres.

exemple d'un stress banal mal géré : Stressés par des journées interminables, épuisés par des nuits de garde tous les quatre jours, des internes compensaient en mangeant beaucoup trop. Alors que leurs corps leur disaient : "J'ai besoin d'arrêter un peu et de dormir", ils n'entendaient que : "J'ai besoin" ...

18 mai 2005

J'ai envie de...

sylvie_guilhem

Danser...

arabesque21

J'aimerais avoir la force, de la volonté à la force physique pour rechausser mes pointes et me placer à la barre, pour me laisser transcender par le son du piano. Sentir les perles de sueur ruisseler dans mon dos alors que tout ce que je ressens n'est que Bonheur... les courbatures ne viendraient que le lendemain...

tutu

J'ai envie de tutus, de paillettes, de sentir la laque et le mélange enivrant des produits de maquillage, de ressentir l'excitation de la scène, le trac, imaginer le public qui se place dans la salle pendant que nous faisons nos derniers étirements, nos derniers relevés avant le noir précèdant le lever de rideau... de sentir mon coeur s'emballer pour ce que je m'apprête à vivre.

...plus que quelques mesures et c'est à moi d'entrer, je suis dans la première coulisse, je suis concentrée, j'essaie de ne pas me laisser envahir par ces sensations, mélange d'excitation, d'angoisse, de bonheur, de hâte, de peur... je me place...

7... 8... Entrée... voilà, j'y suis, j'y suis...

...plus rien n'est alors descriptible...

saut_de_chat_tendu

...un dernier salut avant de regagner les coulisses à pas légers et élégants.
Les coulisses, voilà, c'est fini. Des mois de travail, de douleur, d'acharnement, de ras-le-bol, de fous-rires, de répétitions générales et nous venons de donner la dernière du spectacle...

L'éphémère nous mène au Nirvana puis nous déchire... jusqu'à la prochaine fois... 

gd_jet_

1 mai 2005

Annonce Spéciale !

Attention sous peu, j'ouvre un nouveau blog, tout beau tout neuf... !!!

5anim

1 mai 2005

Le questionnaire Littéraire...

Mawie m'a écrit :

Hihi, l'affaire est réglée ma poupette, zou, au boulot, je te transfère le questionnaire littéraire !

1. Combien lisez-vous de livres par an ?
Oh my God... ça dépend des ans ! je n'ai jamais autant lu que depuis un an... mais je ne vais pas battre de grand record, entre 15 et 20 ?... ché pu two ;op

2. Quel est le dernier livre que vous ayez acheté ?
Détache-moi, se séparer pour grandir du Professeur Marcel Rufo...

3. Quel est le dernier livre que vous ayez lu ?
Une grosse connerie ! lol : Stupid Cupid d'Arabella Weir, en anglais, histoire type Bridget Jones, ça détend avant de dormir :o)

4. Listez 5 livres qui comptent beaucoup pour vous ou que vous avez particulièrement appréciés
Dans un ordre chronologique, celui de ma vie lol :
Le 35 mai, d'un auteur allemand dont je ne me souviens plus du nom, lu en CM1 !! lol, mais cela m'a fait rêver...
Candide, de Voltaire pour la quête du bonheur qui se révèle dans les couleurs, senteurs et goûts d'un jardin cultivé, épices orientales... :o)
Tomber Sept Fois, se relever Huit, de Philipe Labro, j'ai découvert avec effroi que je n'allais pas bien...
Le Maître et Marguerite, de Boulgakov car il m'a été offert par Marie, le jour de mes 22ans, j'ai redécouvert le goût de lire... ses vertus... et pas mal de pages ont été tournées dans un contexte de pur sérénité... ;o)

... je sens que "détache-moi" va m'apporter quelque chose... peut-être le passage de relai entre la petite fille et la future mère potentielle ?...

5. A qui allez-vous passer le relais (3 blogs) et pourquoi ?
Arf purée, qui a des blogs ? qui veut, je brade aujourd'hui, on en profite mesdames et messieurs !

28 avril 2005

La Raison de l'Amitié...

9 mars 2005

Le temps d'en avoir...

Après la frénésie, après les kilomètres de marches estivales en plein brouillard, après la mortification devant le devoir...
Le temps de prendre son temps... un grand art, pourtant si simple... comme le Rêve...

Je ne sais pas, je n'ai rien à dire... cette image parle d'elle-même...

 

5 mars 2005

In English now...

Shhh :o)

4 mars 2005

Twinky Twinky my Little Star

Mon Chat d'Amour...

Et qu'je tire la langue !

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